Voici un petit mot du realisateur du film, Robert Cary:
J'ai eu une merveilleuse experience en travaillant avec Judith Light dans une comedie romantique appelée Ira and Abby fin 2005, donc lorsque son manager Herb Hamsher m'a contacté au sujet du projet qu'il etait de produire, Save Me, j'ai ete tout de suite intrigué.
Le sujet du film n'aurait pas pu être plus eloigné des nevroses de Manhattan et du comique sulfureux de Ira et Abby, de plus Judith jouait un role que je trouvais fascinant: une femme evengeliste dirigeant une commuauté pour convertir de jeunes hommes gays en hétérosexuels. Ma premiere discussion avec les producteurs a eu lieu en Mars 2006 et nous commencions a tourner la premiere semaine de Juillet, donc cela a été une courte, intense et immensement enrichissante experience.
Je sentais que le defi en racontant cette histoire allait etre de resister a la temptation de juger le personnage de Judith - En effet, juger toutes les personnes qui entrent et travaillent dans ces communautés - et de comprendre que les motifs et les mecaniques de ce mouvement ne peuvent pas se reduire a des generalités. Dans mes recherches j'ai été surpis de decouvrir qu'il existe des centaines de communautés a travers le pays qui sont dediés a ce type de travail, et egalement surpris de voir qu'il n'y pas d'accreditation officielle, ni un modele defini selon lequel ils dirigent leur "mission". Donc mes collaborateurs et moi avons créé une communauté qui n'etait pas effrayante ou d'un environement extreme, mais preferant creer une qui possedait une des idées communes a toutes dans leur programme de 12 etapes: un lieu qui, bien que rigoureux et portant secours,etait aussi en beaucoup de points modéré et aimant.
Nous avons tourné Save Me en 18 jours, entierement au Nouveau Mexique. J'ai eu la chance non seulement d'avoir les talents de Judith, Chad Allen, Robert Grant, Stephen Lang and un ensemble d'acteurs genereux et inventifs, mais aussi les extraoridnaires dons de Rodney Taylor, qui a filmé en 35 mm, la production du design de Ray Kluga, les costumes de Lahly Poore et le vrai soutien des producteurs et producteurs executifs. J'espere que Save Me fera partie des debats en cours sur le fondamentalisme, l'homosexualité.