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 Broadway.com 2005

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Angela Bower
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Angela Bower


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MessageSujet: Broadway.com 2005   Broadway.com 2005 Icon_minitimeLun 30 Juin - 21:17

Voici un article datant de 2005, parlant de Colder than Here:

http://www.broadway.com/Gen/Buzz_Story.aspx?ci=517677&pn=1

La traduction:

Comment avez-vous décidé de faire Colder than here?
Apres Wit, Bernie Telsey, Bobby LuPone et moi avons continué a cherché quelque chose d’autre que l’on pouvait faire ensemble. Lorsqu’ils m’ont envoyé cette pièce, ma première pensée a été : « Vous ne voulez quand même pas que je lise une autre pièce sur une femme mourant d’un cancer ? » Mais je l’ai lu et j’ai voulut la faire. La pièce traite vraiment des dynamiques familiales et comment, nous, en tant qu’être humains, nous gérons nos sentiments face a la mort. Pour la plupart, nous vivons tous dans le déni de la mort. C’est difficile pour nous de la regarder en face et ensuite de regarder nos vies. Je pense que nous vivrions différemment si nous étions capable de faire face a la mort. Ce qui est merveilleux au sujet de mon personnage c’est qu’elle continue d’essayer d’être courageuse et forte, et de trouver de l’humour dans tout. Ça la rend héroïque, ça rend toute la famille héroïque, et c’est pourquoi, je pense, que les gens vont être attirés par la pièce. La pièce est très drôle aussi, elle n’est en aucune façon didactique. Au début vous n’êtes pas sur si vous devez rire, mais vous le faites.



Vous êtes entourée par toute une famille sur scène. Tout d’abord Brian Murray est rock.
Il n’est pas seulement un rock, c’est un génie du théâtre. Il est tout simplement splendide, l’un des plus raffiné, le plus radieux des personnes avec qui j’ai eu l’opportunité de travailler. Il comprend l’ouvrage et il a l’œil d’un metteur en scène, mais il est aussi capable de mettre ça de côté pour faire son travail d’acteur.

Et ces deux jeunes incontournables actrices Sarah Paulson et Lily Rabe, jouent vos filles.
On m’aurait garanties des filles comme ça, j’aurais probablement eu des enfants. (Rires)

Les avez-vous vues dans leurs récents shows de Broadway ?
Oui. Jason Moore, qui a mis en scène Steel Magnolias et Avenue Q, est un bon ami, donc j’ai vu Lily à l’avant première de Steel Magnolias. Elle est juste extraordinaire. Et j’ai vu Sarah Paulson dans The Glass Ménagerie. N’était-elle pas merveilleuse ? Je l’adore. Elles sont toutes le deux d’adorables, charmantes femmes. J’allais les appeler « Mes Enfants ».

Apres avoir joué dans Wit, qui a exigé que vous vous rasiez la tête, et apparaissiez nue sur scène, avez-vous pensé : « Maintenant je peux faire tout faire » ?
Vous savez quoi ? J’aurais du pouvoir être capable de dire ça, mais ça n’a pas été le cas. Je n’avais pas joué dans une pièce depuis 22 ans, donc revenir a New York et faire Wit a été un défi pour moi, dans beaucoup de domaine. Plus je garde cette expérience en tête plus je ressens cela de cette manière. Non pas dans le sens « Je peux tout faire » en matière de capacité, mais disons que j’ai fait une des choses les plus dur que je n’ai jamais eu a faire. Maintenant je peux me relaxer un peu.

Donc vous avez décidé de vous relaxer et d’interpréter Hedda Gabler a Washington D.C ?
(Rires) Je voulais vraiment travailler avec Michael Kahn, Nous avons utilisé la traduction de Doug Hughes pour la pièce, donc c’était plutôt juteux. J’ai dit a mon manager « je ne pense pas que je puisse faire ça » et il m’a dit « Il faut que tu le fasses c’est l’un des rôle de femmes le plus formidable de l’histoire du théâtre ». Elle s’est avéré être une merveilleuse production.

Etant donné votre impressionnant passé théâtral de ses dernières années, en incluant votre rôle dans la production a L.A de Athol Fugard, Sorrows and Rejoicing, est ce que vous perdez patience quand les gens veulent encore vous parler de Tony Danza ou One Life To Live ?
Non. Je perds patience si les gens dise « La seule chose qu’elle a fait c’est Who’s the Boss ? » Pas mal de temps est passé depuis et j’ai travaillé très dur. Mais est ce que cela me dérange ? Jamais. Je pense que la série était géniale, j’ai adoré travailler avec Tony et j’ai adoré faire rire les gens. Je n’ai honte d’aucun rôle de ma carrière. J’ai fait ce qui s’est présenté sur mon chemin et tout ce que j’ai fait a changé ma vie et ma perspective du métier. Je suis heureuse de parler de tout ça et je suis reconnaissante que les gens s’en rappellent. Je veux dire One Life To Live c’était en 1977 et les gens s’en rappelle encore. Je viens juste de donner une interview à Soap Opera Digest. Donc vous voulez que je vous parle de Tony ?(Rires)

Non, je ne veux pas. Mais bon sang, ça va plutôt bien pour lui aussi. Il a fait The Iceman Cometh sur Broadway avec Kevin Spacey !
Oh, Tony s’est transformé completement. J’aime Tony.

J’ai été intéressé de lire que vous avez joué Joanne a L.A, une version concert de Sondheim’s Company. Je n’avais pas réalisé que vous étiez une chanteuse.
Je reviens en quelque sorte a ça. J’avais arrêté pendant des années. Quand j’ai commencé a faire de la T.V a L.A, j’ai tout mis de coté. Quand l’opportunité de faire Company est apparut j’étais terrifiée. C’est un rôle mythique et c’est très dur d’y parvenir quand le public a Elaine Stich dans leur tête. Cela a été un gros moment pour moment, et j’ai eu la possibilité de travailler avec un groupe de personne incroyable.

Pouvez-vous vous voir faire 8 spectacles par semaines dans une comédie musicale ?
Oui tout a fait.

Je vois Mamma Mia dans votre futur !
Ne dites pas ça. (Rires) S’il vous plait. Ne brulons pas les etapes

Vous et votre mari, l’acteur Robert Desiderio, êtes mariés depuis 20 ans, quel est le secret de votre succès en tant que couple ?
J’ai un merveilleux mari, d’un incroyable soutien. Il est prêt a parler de tout, ce qui est vraiment important et je l’ai vu grandir au fil des années. Nous regardons également Herb et Jonathan, qui sont nos amis les plus proches et qui sont ensemble en tant que partenaire dans les affaires et dans la vie depuis 25 ans, et prenons inspiration de la manière dont ils s’entendent.

Comment avez-vous évité la compétitivité dans vos carrières ?
Nous ne l’avons pas évité. Nous nous ont heurté a ce mur et nous avons fait avec. La plupart du temps c’est plus facile pour moi car j’ai plus de succès que Robert, dans le sens ou les gens savent qui je suis. Mais Robert s’est concentré sur l’écriture de scenario maintenant. Il a fait un changement de carrière, en faisant des films et des pilotes, et il a d’incroyables retours. Il a de merveilleuses idées et c’est un fantastique écrivain. Il a travaillé très dur pour faire que notre relation soit plus importante que la compétitivité.

Avez-vous des regrets de ne pas avoir eu d’enfants ?
Non, je n’en n’ai pas. C’était un choix conscient. Nous nous sommes dit que si jamais le moment ou nous voulons des enfants arrive et que c’est trop tard pour nous d’en avoir, nous adopterions. Mais notre point central était notre travail. Aucun d’entre nous n’a ressentis le profond, passionné désir d’avoir des enfants. C’est une autre carrière, et vous devez vous y engager complètement. Je n’aurais pas voulu manquer le premier spectacle de l’école ou le premier rendez-vous. Ma carrière m’a emmené dans une direction, ou nous avons du faire sérieusement un choix et c’est le choix que nous avons fait. Quelques fois je vois une mère avec ses filles, ou j’ai une expérience comme celle que j’ai en ce moment dans la pièce. Je regarde ces filles et c’est comme si c’était les miennes et je pense que cela aurait été merveilleux d’voir ce sentiment avec une qui soit a moi. Mais lorsque vous êtes un adulte, vous vivez avec les choix que vous faites.

Vous êtes beaucoup impliqué dans le combat contre le Sida, est ce que le fait d’voir fait le téléfilm sur la vie de Ryan White a été déclencheur ?
Oui. J’ai su que mes amis étaient malades, mais j’ai pris conscience a quel point, une fois que j’ai fait le film.

Est-ce que c’est un défi de garder les gens concentrés sur la crise de Sida de nos jours ?
Oh oui. Essayer de faire savoir aux gens que ce n’est pas fini, et protéger nos jeunes de devenir séropositifs. A cause des effets des inhibiteurs de protéase, vous ne voyez pas les ravages des maladies opportunistes. Mais il est là néanmoins. Le Sida est devenu un problème international en partie a cause de la manière dont cela a été géré au début en Amérique. Cela n’a pas été regardé en face. Nous avons eu 2 présidents qui n’ont dit le mot. La communauté Gay s’est placé a un niveau de pouvoir et de soin par ses propre moyen car elle n’avait rien de la part du gouvernement. Si cela avait été une maladie d’un bon vieux garçon d’un homme blanc, cela aurait été pris en charge immédiatement. L’homophobie qui se trouvait sous la surface a été exposée.

En tant que femme hétéro, vous êtes inhabituellement directe en soutenant la communauté Gay. Pourquoi ressentez vous le désir de faire ça ?
A cause de mes amis, le fait d’être aussi proche d’Herb et Jonathan, et aussi les amis dans le théâtre. Ils ne sont pas lus différent que je ne le suis. Ils ont seulement une préférence sexuelle différente. J’ai été in spirée par cette communauté, et donc je sens que c’est important de dire la vérité. Les gens disent vraiment des choses invraisemblables comme « Les Gays pourrait le garder pour eux ». Comment vous sentiriez vous en tant qu’hétéro si vous deviez le garder pour vous-même ? Ce n’est pas gentil, genreux ou chrétien ou aimant et si nous voulons changer la manière dont on fonctionne dans le monde, nous devons commencer par aimer tout le monde. Pas « aimer le pécheur, haïr le pécher », pas ça. Nous devons respecter et honorer chacun des êtres humains.

Vous êtes toujours demandée par la TV. Comment vous équilibrée les rôles que vous acceptez ?
J’ai fait l’aller retour New York, pour mon rôle dans New York Unité Spéciale. Je joue à la tête d’une unité, mais je pense que l’on va changer ma position dans la série. Les gens là-bas sont extraordinaires : Mariska Hargitay, Chris Melony, B.D Wong. C’est un endroit spécial pour travailler.

Combien d’épisodes d’Unité Spéciale faites-vous par saison ?
Ça dépend de mon emploi du temps. J’ai tourné un pilote cette année, une comédie dramatique appelée Sold, a L.A, pour ABC, mais le show n’ pas été choisi. J’ai été déçue car je pensais que c’était un bon show. Mais si j’avais fait ce show, je n’aurais pas été en mesure de faire la pièce. Pour répondre a votre question, il se trouve que j’ai une agence, The Gersh Agency, qui croit a la création d’une carrière générale pour leurs clients. L’argent que je gagne ici n’est pas ce que je peux gagner a la TV, mais ils fonctionnent dans la prémisse qu’une chose soutien l’autre. J’essaie vraiment d’écouter mon cœur et mon âme, je sais que ça fait un Californie du Sud Farfelu, mais si vous écoutez, vous choisirez sagement. Et j’ai beaucoup de soutien, je suis avec mes managers, Herb Hamsher et Jonathan Stoller depuis 26 ans. Nous regardons ensemble les choses que l’on me propose. Si j’écoute ma tête et dit « Je n’ai pas besoin de faire une autre pièce sur le cancer », je ne serais pas en train d’avoir cette expérience maintenant.
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